Roman L'affaire Léonie Lachance

Hélène Potvin
Roman - Tome II de la série Chez Mimi
Béliveau Éditeur
ISBN : 978-2-89092-430-7
384 pages
Parution Septembre 2009
24.95$ can.

Résumé du livre

Dans le tome II de la série Chez Mimi, la fille unique de Mireille Sansouci, Léonie, désormais adolescente, se trouve en plein cœur d’une intrigue policière. Un soir de forte tempête hivernale, après des mois de conflits et d’incompréhension entre la mère et la fille, Léonie disparaît sans laisser de traces. Et le cauchemar pour Mimi commence, car la fugue et la disparition sont vite écartées : les enquêteurs optent pour la terrible hypothèse d’un enlèvement ou d’un acte criminel. Pronovost, qui dirige l’enquête, met rapidement au jour un secret jalousement gardé par l’adolescente, lequel paraît être en lien avec sa disparition. Mimi vit carrément l’enfer sur terre, et davantage quand on se met à soupçonner son conjoint, Mertenat, d’être pour quelque chose dans l’affaire. L’est-il ? Tout semble dramatiquement converger vers lui… Le sort s’acharne sur notre coiffeuse en visant aussi le père de Léonie, Denis Lachance…

Si Mimi avait joué un grand rôle dans la destinée d’Ariane Salamin en 2004, lorsqu’elle lui avait sauvé la vie (tome I), Ariane mettra ici tout en œuvre pour s’acquitter de sa dette. Alors que l’enquête policière stagne, que Mimi s’enlise dans une grave dépression et souffre le martyre, Ariane se démène, déplace les montagnes, et obtient de surprenants résultats. Un autre suspect est appréhendé grâce à ses efforts et à sa persévérance… Pour des raisons occultes, Ariane persiste à croire la petite toujours vivante, mais arrivera-t-elle à convaincre l’enquêteur principal de la suivre dans ses étonnantes, voire folles hypothèses ? Saura-t-elle le persuader de suivre cet… étrange « fil d’Ariane » qu’elle dévide devant lui ?

« Huit heures pile. La lumière s’allume et la prend par surprise. Puis, le bruit habituel résonne comme un glas sinistre. Il est derrière la porte. Que lui aura-t-il préparé cette fois pour la torturer ? Elle se dit qu’elle a tout vu et que ses cruautés ne peuvent l’atteindre. Elle se lève, fait glisser son plateau de la veille sur les rails. Quand un autre lui revient, elle recule, prise de vertiges et totalement paniquée. Bien posée au centre du petit-déjeuner se trouve une rose. Noire. Puis une grande enveloppe. Blanche. Et le rouge sang des grosses lettres pourtant pimpantes et joyeuses la glace d’effroi :

HAPPY BIRTHAY,
MISS LACHANCE ! »